Commercial & Ingénieur
Que dites-vous d’une petite blague ce soir ? En voici une que j’aime beaucoup :
Connaissez vous la différence entre un commercial et un ingénieur ?
Non ? Et bien en voici un aperçu :
Un homme survole la campagne à bord d’une montgolfière. Il réalise soudain qu’il est perdu. Il réduit alors son altitude et aperçoit bientôt un homme sous sa nacelle.
Il se rapproche à portée de voix et lui crie :
– Excusez-moi ! Pourriez-vous m’aider ? J’ai promis à un ami de le rejoindre il y a une demi-heure, mais je ne sais plus où je suis!L’homme à terre répond :
– Bien sur ! vous êtes à bord d’une montgolfière se déplaçant à environ 10 mètres du sol, entre 40 et 42 degrés de latitude Nord et entre 58 et 60 degrés de longitude Ouest.– Vous devez être ingénieur, avance l’aérostier.
– C’est exact, répond l’homme à terre, Comment avez-vous deviné ?
– Eh bien, répond l’aérostier, c’est simple : tout ce que vous m’avez dit est techniquement correct, mais je n’ai aucune idée de ce que je peux faire de votre information, et le fait est que je suis toujours perdu !
L’homme à terre répond alors :
– Vous devez être commercial !– C’est exact, répond l’aérostier, mais comment avez-vous deviné ?
– Eh bien c’est simple, répond l’homme à terre : vous ne savez pas où vous êtes, ni où vous allez. Vous avez fait une promesse ne sachant comment vous y tenir et vous supposez que je vais régler le problème à votre place. Le fait est que vous êtes exactement dans la position où vous étiez avant que l’on se rencontre, mais maintenant, quelque-part, c’est de ma faute !…
C’est amusant, car lorsque j’avais posté cette blague, je ne connaissais pas vraiment le monde du travail (les labos étant un microcosme à part).
Et en la relisant aujourd’hui, je prend la mesure de la véracité de fond de cette blague ! Évidement, pour être juste, il convient de souligner qu’il s’agit d’un point de vue ingénieur (ou assimilé). Je suppose qu’un commercial (ou assimilé) aurait à y redire…
Toujours aussi sympa cette blague ^_^
Je trouve qu’elle se vérifiait particulièrement quand j’étais en SSII, mais depuis que je suis chez Agfa, je n’ai pas l’impression que les commerciaux promettent monts et merveilles aux client sans savoir s’ils pourront le tenir.