Top 10 des meilleurs épisodes de séries
Il y a peu, je me suis remis à mon visionnage de l’excellente série de Science-fiction british, j’ai nommé « Docteur Who » ! Et c’est en abordant la fin de la saison 3 1, que j’ai visionné ce que je qualifierai sans hésitation de « meilleur épisode de série que j’aie jamais vu » ! Du coup, après un peu de réflexion, je me suis mis en tête de proposer un top 10 des meilleurs épisodes qu’il m’a été donné de voir.
Bien sûr, ce top 10 est limité aux séries que j’ai moi-même vu (principalement de la SF, donc) ; je me suis par ailleurs limité à un maximum de 2 représentants d’une même série. Le voici donc, en ordre inverse :
#10 : « The 21-second Excitation », Big Bang Theory, saison 4, épisode 8
Cette série geek-o-illarante qu’est Big Bang Theory atteint difficilement ce top 10. Pourtant, je n’ai pas pu résister à l’envie d’y introduire cet épisode en particulier. Celui-ci narre les déboire de nos 4 geeks préférés alors que leur cinéma de quartier projette une version inédite des « Aventuriers de l’Arche Perdue » pourvue de (attention)… 21 secondes supplémentaires ! Bien sûr, c’est ridicule. Et pourtant, tout véritable fan (de quoi que ce soit, d’ailleurs) a déjà frôlé la folie à l’idée d’un nouvel élément venant étayer un aspect de sa passion. Et puis, la dernière scène de cet épisode est juste mythique, et constitue un magnifique hommage à Indy 2.
#9 : « Jusque dans la tombe », LOST, saison 3, épisode 14
Au milieu de l’immense feuilleton (non-sensique sur la fin) qu’est la série LOST, cet épisode est d’une fraîcheur étonnante et nous narre les déboire d’un couple d’escrocs à la recherche de diamants volés. Leur histoire se tisse à la trame principale au fur et à mesure que l’épisode se déroule ; on se prend d’affection pour ces deux larons. C’est bien sûr la fin de l’épisode qui lui donne en particulier toute sa saveur, mais je n’en dirais pas plus. Cet épisode (qui présente l’avantage d’être un one-shot 3 ) est aussi présent dans ce top 10 en tant que représentant de toute la série LOST, bien que dans le bas du classement.
#8 : « Le contrat remplis », Smallville, saison 7, épisode 10
Dans Smallville, ce qui m’a toujours plu, c’est l’ambiance générale, et l’aspect un peu fataliste de l’ensemble de série, qui joue plutôt bien avec le fait que les téléspectateurs savent exactement comme tout cela va finir… En particulier, la série s’articule sur la relation entre Clark (futur Superman) et Lana ; pourtant, chacun sait très bien que Clark Kent est l’époux de Lois Lane. Comment joindre les deux bouts, donc ? La pirouette s’annonçait particulièrement périlleuse ; et pourtant, c’est avec ce magistral épisode que les scénaristes s’en tirent avec brio. Paradoxal de considérer que le meilleur épisode de Smallville est précisément celui qui rompt la relation Clark/Lana. Mais l’idée avancée pour justifier cette rupture est tellement bien trouvée que cet épisode est finalement pour moi le meilleur de la série !
#7 : « Le retour », Les 4400, saison 1, épisode 1
Un peu étrange de mettre un épisode pilote dans ce top 10. Et pourtant, c’est un peu ainsi que je vois la série « Les 4400 » avec du recul : une magnifique promesse, qui n’a pas été tenue. Des hauts et des bas dans cette série, mais on n’atteindra jamais ce que le spectateur pouvait vaguement imaginer à la lueur de cette boule de lumière qui arrive sur Terre, ramenant 4400 personnes disparues au cours du XXième siècle. Tout ce met en place doucement : les liens entre personnages, certains qui développent des pouvoirs, un embryon d’effet dominant… On peut encore rêver en regardant la première saison des 4400 (6 épisodes), mais on ne peut que cauchemarder à en voir ce qu’ils en ont fait ensuite.
#6 : « Un monde retrouvé », Sliders, saison 3, épisode 4
Cet épisode de Sliders ne présente pas vraiment de particularité notable. Les mauvaises langues souligneront qu’il s’agit encore d’un voyage dans le temps 4, mais il ne s’agit là que d’une mise en place de l’intrigue, et non du cœur de l’intrique elle-même. Ici, l’épisode exploite une idée qu’on a tous probablement déjà eu étant gamins : et si je pouvais rencontrer mon moi-adulte (ou mon moi-enfant, à l’heure ou nous sommes désormais adultes)…? Cet épisode a une résonance personnelle qu’il m’a vraiment fait vibrer, sans parler du twist final. Un très bel épisode, avec un arrière goût de nostalgie de l’enfance.
#5 : « Une dimension trop réelle », Stargate SG1, saison 1, épisode 20
Après l’épisode de Sliders qui traite de voyage dans le temps à la place du voyage inter-dimensionnel, voici l’épisode de Stargate dont le sujet est le voyages inter-dimensionnels au lieu du voyages inter-stellaire 5 ; à croire que j’aime les épisodes qui transgressent les règles de leurs séries d’origine. Cet épisode est pour moi l’un des pilliers de la série. Pourquoi ? Car il nous montre concrètement la dangerosité des Goa’uld, et ce qu’ils sont capables de faire à la Terre ! Jusqu’à cet épisode, on avait eu de vagues menaces, des froncement de sourcil, des yeux qui s’illuminent et quelques morts ici et là… Mais le coté un peu kitsh de la série équilibrait la balance, nous laissant un peu dubitatif quant au coté inquiétant des serpents. Cet épisode vient donc mettre les points sur les « i », et ça fout une claque.
#4 : « La fin du monde », Sliders, saison 1, épisode 5
Voilà un épisode qui fut alimenté par mes cauchemars… A moins que ce ne soit l’inverse ? Bref, comme son nom l’indique, nos glisseurs arrivent dans un monde condamné par l’imminence d’un impact avec une météorite. Pourquoi ne pas atomiser le gros cailloux avec des missiles nucléaires, me direz-vous ? Des missiles quoi ? Eh oui, dans ce monde, l’énergie atomique n’a pas été découverte 6. Cet épisode exploite alors une double trame scénaristique : l’imminence de la fin du monde, avec les différentes réactions et excès qui en découlent ; et le choix cornélien de mettre l’énergie atomique entre les mains d’un type qui pourrait sauver le monde, mais n’a pas l’air des plus sain d’esprit… Très bel épisode, qui me donne encore de frissons dans le dos rien qu’en y repensant.
#3 : « Différentes Destinations », Farscape, saison 3, épisode 4
En réalisant ce top 10, je n’ai pu que constater que Farscape fait typiquement partie des séries qui sont excellentes sur l’ensemble (l’ambiance générale, l’évolution des persos…) plutôt que de briller par quelques épisodes ponctuels. Pourtant, cet épisode relativement one shot m’avait fait verser une larme lorsque je l’ai visionné pour la première fois. Il raconte grosso modo comment une partie de l’équipage de Moya remonte le temps et participe à une bataille dont l’issue n’est pas aussi immuable qu’on pourrait le penser. Ici, le voyage dans le temps (toujours aussi cher à mon coeur) n’est pas le centre de l’histoire, mais simplement un vecteur du récit. Je préfère ne pas vous en dire trop, mais la fin est magnifique, et les personnages (bien qu’aliens) sont plus humains que jamais.
#2 : « Pacte avec le diable », Stargate SG1, saison 6, épisode 22
Pour moi, THE meilleur épisode de Stargate, toutes séries confondues. Pourtant située dans la saison-mal-aimée, la numéro 6, cet épisode unifie en 45 minutes tout ce qui a fait l’identité de Stargate : les goa’uld, leur système féodal, Abydos, d’anciens amis (dont Skaara, présent dés le film initial), la recherche d’un trésors antique, qui se trouve être un artefact de haute technologie, un poil de romance, un soupçon de tristesse, une solide amitié entre les membres de SG1 (Jonas inclus). Notez que c’est dans cet épisode qu’on en apprend peut-être le plus sur toute la mythologie Stargate : l’origine d’Anubis, la chute de Daniel, la nature des anciens, l’ascension, la recherche d’Atlantis… C’est aussi un épisode qui est centré sur Daniel (qui n’a pourtant pas encore réintégré SG1), qui reste pour moi le personnage phare de Stargate.
#1 : « Les anges pleureurs », Docteur Who, saison 3, épisode 10
Cet épisode de Docteur Who présente déjà une particularité notable : les personnages principaux n’apparaissent pour ainsi dire pas (disons 5% de l’épisode, à tout casser). Et pourtant, on sent qu’ils sont là, tout au long de l’épisode, comme s’ils étaient juste à la limite du hors-champs… Et à juste titre, puisque c’est précisément ce sentiment qu’exploite cet épisode. Un un mot : et si les statues s’animaient (et se révélait dangereuses) lorsque vous en détournez les yeux ?! C’est de ce pitch que part cet épisode extrêmement bien construit, tant sur le plan scénaristique, que sur le jeu des acteurs et la réalisation. En 40 minutes, on balaye le thriller, l’épouvante, la science-fiction, une histoire d’amour, le drame, le tout bien emballé dans un magnifique noeud-paradoxe temporel 7. Jubilatoire !!!
Vous aurez peu-être noté que n’apparaissent pas dans ce top 10 des séries que j’aime beaucoup telles que Firefly, Game of Thrones, Sarah Connor Chronicles, ou encore V (2009) ! La raison en est assez simple : ces séries ont une forme évidente de « feuilleton », et il m’a été impossible d’en extraire un épisode particulier plutôt qu’un autre.
Et vous ? Quels seraient vos meilleurs épisodes de séries, toutes origines confondues ? Sans aller jusqu’à un top 10, peut-être un top 3 ?
- Je devrais parler de la saison 3 de la nouvelle série, mais là n’est pas le débat.[↑]
- Si vous ne voyez pas de quoi je parle, regardez plutôt : http://www.youtube.com/watch?v=whWv07rIpmI[↑]
- Histoire tenant sur un épisode unique.[↑]
- Alors que la série joue plutôt sur les voyages trans-dimensionnels, différence plus que notable ![↑]
- Il s’agit du premier épisode de Stargate SG1 à traiter du sujet, mais non le dernier.[↑]
- En fait, elle a même été volontairement cachée par Einstein, mais peu importe.[↑]
- Avec un plus un hommage discret à « Retour vers le futur II ».[↑]
Je n’ai vu que peu des séries dont tu parles, et j’ai vu LOST il y a tellement longtemps que je serais bien incapable de dire si l’un des épisodes m’a autant marqué.
Mais dans les épisodes dont je me souviens, je peut sans doute faire un top 3 :
#3 : Sherlock 2×01 « A scandal in Belgravia »
Un épisode superbe ! Un peu lent à démarrer mais c’est bien là son seul défaut. Un grand moment de télévision dont je pourrais donner un avis complet mais je préfère abréger. Cet épisode n’a que peu de défauts et il faut le voir !
#2 – Breaking bad 4×12 « End Times »
Je pense qu’on peut très bien noter des épisodes d’une série très feuilleton. Cet épisode est certes le couronnement d’une saison formidable, mais il se trouve quand même au dessus du lot. La tension est extrêmement forte, elle monte en intensité tout au long de l’épisode avant une scène finale sublissime. Clairement l’un des épisodes qui m’a fait le plus ressentir.
#1 : Sherlock 2×03 « The Reichenbach Fall »
Un top 3 et deux épisodes de la même série ? Et bien oui. Cette série est décidément ma découverte de l’année, et ce dernier épisode est vraiment splendide sur tous les aspects. Encore une fois, je ne vais pas donner un avis complet. En plus c’est dur sans faire de spoilers. Mais ces deux épisodes de Sherlock justifient à eux seuls le visionnage de la série (qui ne fait de toutes façons que 6 épisodes…)
Je rajouterais bien :
« Drôle de mort » et « Le Docteur danse » Doctor Who, saison 3 épisodes 9-10
Un épisode double pour sa construction, l’ambiance d’ensemble, des scènes d’anthologie et parce qu’il est si efficace que j’en ai fait des cauchemars.
@Keeper : +2 pour « A Scandal in Belgravia ».
@ Keeper:
Je ne connais aucune de ces deux séries. Tu peux en dire plus ? Sherlock, c’est… Holmes ? (La question est peut-être très con.)
@ Didine:
Ces épisodes sont bien flippant, mais ils ne m’ont pas marqué plus que cela… Même si Nine reste mon docteur préféré, pour l’instant. Par contre, du coup, il s’agit bien de la saison 1, pas de la 3.
Oui, c’est bien la 1, va savoir pourquoi j’ai écrit ça…
Je laisser à Keeper le plaisir de te parler de Sherlock.
Ah la la, mais c’est impossible un tel classement « toutes » séries confondues, pour moi aui en ai vu « un certain nombre », et qui ai donc oublié un nombre certain d’épisodes.
On va donc déjà se focaliser sur les séries que tu cites.
Concernant Stargate SG-1 par exemple, mon top 2 met à égalité, outre « Pacte avec le Diable » que tu cites, le très émouvant double épisode 7-17 / 7-18 « Heroes ».
Pour The Big Bang Theory, je peux difficilement ne pas citer l’épisode 4-11, « The Justice League Recombination » – sans doute un de ceux où j’ai ris au éclat du début à la fin.
Et stoppons là, même si j’aurais pu citer d’autres séries – pour des épisodes émouvants, drôles, surprenants, ou indescriptibles ; juste, en guise de dessert, parmi les découvertes récentes, citons l’épisode 1-23 de Community, « Modern Warfare ». Ce qu’il y a de bien dans cette série, c’est que contrairement à TBBT qui pousse la culture geek à son paroxysme, ici on s’amuse avec l’ensemble de la culture « populaire » (dont geek !), sans craindre de faire n’importe quoi. Cet épisode a d’ailleurs une suite qui pousse le jeu encore un niveau au-dessus, dans le double épisode 2-23 / 2-24 ; malheureusement le 2-24 s’essouffle franchement, parce que ce genre d’idée n’est pas fait pour tenir dans la longueur, d’où ma préférence pour l’originel, saison 1.
Le double épisode « Heroes » de SG1 est effectivement très intéressant aussi. Je reconnais.
Tu peux en dire plus sur ce qu’est « Community, modern warfare » ?
Modern Warfare, c’est le nom de l’épisode, la série c’est juste « Community ». C’est au format sitcom (épisodes de 20′), on en est à la troisième saison je crois (je suis pas sûr, je ne suis plus aucune série depuis la mort simultanée du streaming sur internet et de mon décodeur TV SFR). Ça parle d’un groupe de personnes en fac, mais pas que des ados, puisque cette fac accueille les losers de tous âges, des ados (y en a quand même) qui n’ont pas pu avoir d’autre facs, des adultes en reconversion, des retraités simplement curieux…
Dit comme ça, ça peut paraitre pas très attirant, le monde de la fac américaine c’est un sujet de sitcom par excellence mâché et remâché ; d’ailleurs au premier épisode, on se dit que ça risque d’être plat… Mais si on s’accroche, on s’aperçoit vite que les personnages sont suffisamment barrés pour faire remonter notre intérêt, que finalement le côté fac est juste un prétexte pour laisser les scénaristes s’amuser sans se prendre la tête, et les réalisateurs multiplier les clins d’oeil envers le cinéma et la pop culture – et on obtient certains épisodes assez mythiques comme ceux que j’ai cités (tous les ans, la fac en question organise un match de paintball dans ces locaux – autant dire que ça dégénère. Et cinématographiquement, ça donne l’occasion de multiples clins d’oeil aux films de guerre, à la SF, aux westerns, etc.)
Bref, une série avec un potentiel de départ plutôt mince, mais qui finalement se révèle très vite assez attachante, passés les 4-5 premiers épisodes.
@ Ekho:
Oui, La série s’appelle juste Sherlock mais il s’agit bien du célèbre détective. C’est en fait une adaptation du Mythe de Sherlock Holmes au 21e siècle. Sherlock y est fervent utilisateur des SMS et Watson un vétéran de la guerre en Afghanistan. C’est très bien transposé, bien joué et bien filmé, le scénario est top, bref c’est un must. Pour les connaisseurs de l’œuvre de Conan Doyle, les références ne manquent pas. Ah, et ais-je mentionné qu’elle a été co-créée par Steven Moffat ?
Ce que j’aime dans Community c’est la réflexion sur les relations humaines plutôt pertinente (pourtant j’en suis qu’aux tout premiers épi) par contre ça va super vite et j’ai du mal à suivre les sous titre XD
Sherlock c’est un série coup de coeur aussi, et pareil le premier épi de la saison 2 est vraiment excellent ! C’est à la fois drôle, flippant, émouvant, et avec un jeu d’images savoureux. Et y’a pas besoin d’avoir lu les livres originaux avant.
Pour en revenir au top… bon j’aurai pas mis les mêmes c’est sûr, mais j’avais gardé souvenir aussi de celui de Lost que tu cites, plutôt original comme choix du point de vue. Et pareil les anges du Docteur m’ont bien fait flipper.
faire un top toute série confondue me semble vraiment dur, mais :
-j’aurai mis TBBT aussi,
-ainsi que Misfits (une bande de jeune délinquant aux super pouvoirs… c’est cash, souvent gore et scato, mais c’est complètement délirant, bien foutu, et très surprenant)
– j’aurai cité du Star Trek Next generation ou Voyager (y’a des épisodes vraiment incroyables, entre autre sur les voyages temporels et autres paradoxes tiens, toi qui aime ça. Et puis c’est vrai que j’ai beau avoir toujours été une grande fan de Stargate, à côté de ST, ça reste du divertissement mâtiné d’un soupçon de réflexions. Dans ST y’a vraiment de quoi gamberger sérieusement -en plus du reste. Une SF bien roborative quoi)
– du stargate bien sûr. Bon moi mes épisodes fétiches sont sans aucun doutes « un étrange compagnon » (urgo), « l’histoire sans fin », « acte de bravoure » (avec deux scientifiques fana d’SG1 qui volent à leur rescousse)… j’aime aussi bcp de double épisode Heroes même s’il est plutot éclectique. Et si y’a vraiment, mais vraiment qu’un épisode à choisir c’est le double épisode « Lost city ». D’ailleurs, la meilleure scène de bataille toute série confondue c’est celle en Antarctique. Non ?
@ DarkPara:
Merci. J’essayerai de jetter un oeil un de ces 4…
@ Keeper:
Moffat ?! Ai-je bien lu Moffat ???
Je vais regarder ça au plus vite !
@ lael:
Ah… Startrek… Maintenant que je suis rodé avec le Doctor et Farscape, je vais peut-être finir par m’y mettre !
« Un étrange compagnon » ?? Sérieux ? Pour moi, c’est un des plus mauvais épisodes !
Les autres que tu cites sont effectivement très sympa. Mais pour moi, il sont un peu « périphériques », et ne sont pas vraiment représentatifs de SG.
Le double épisode « Lost city » m’a toujours laissé un sentiment de frustration. Simplement parce qu’à aucun moment, on ne la trouve, la fameuse « lost city » ! Quant à la meilleure bataille spatiale de la franchise, pour moi, elle est dans SGA, saison 4, épisode 11, sans hésitation : une alliance humains/wraith/voyageurs contre les Asurans. Pas très réaliste (pas plus que la bataille de « lost city ») mais de toute beauté !